Les syndicats, qui ont été reçus lundi à l'Elysée avant un sommet du G20 sur la crise économique internationale, envisagent la possibilité d'une action commune pour rappeler au gouvernement que les salariés ne doivent pas être les victimes de la crise.
Les huit principales organisations françaises, CGT, CFDT, FO, CFTC, CFE-CGC, FSU, Solidaires (dont Sud), Unsa (syndicats autonomes), se réuniront mercredi pour confronter leurs analyses de la crise et envisager les réponses possibles, a annoncé à l'AFP le secrétaire général de la CGT Bernard Thibault, à l'issue de la rencontre à l'Elysée.
Les syndicats ont décidé de ne pas attendre, pour envisager une action, une réunion ultérieure avec Nicolas Sarkozy ou le gouvernement sur "la situation franco-française", dont ils ont acté le principe mais pas la date avec le chef de l'Etat.
Si la rencontre entre syndicats "contribue à mettre une certaine pression sur le chef de l'Etat et le gouvernement pour accélérer des décisions qui soient véritablement des protections pour les salariés, tant mieux", a estimé M. Thibault.
// Si il apparait évident que la machine économique mondiale s'est emballée, on peut se demander les mesures que les Etats vont prendre pour remettre de l'ordre Dans l'économie mondiale. La question qui peut se poser serait aussi celle-ci: "Faut il abandonner le Libéralisme?" Se placant dans une optique idéologique, il est évident que les prinicipes monarchiques ont été -En France- mis a bas par ce même libéralisme, du moins en partie. Alors que faut-il faire? La question est ouverte.//